Qu'en est-il de la réforme monétaire?

20. 06. 2013
6e congrès international d'exopolitique, d'histoire et de spiritualité

Aimez-vous aussi regarder des documents historiques et cela vous fait penser que les temps ont changé? Vous dites: Pour confondre le fait que nous sommes déjà si loin de la guerre, de la Grande Dépression d'avant-guerre, de l'Accord de Munich, de la réforme monétaire…? Soyez donc prudent avec ces tribunaux. Cela me glaça avec la sensation d'un certain déjà vu. Le mercredi 29 mai, soixante ans se sont écoulés depuis le discours du président de l'époque, Antonín Zápotocký. Zápotocký appelé Tonda Zápotonda ou le père des ouvriers a crié: "Notre monnaie est solide et il n'y aura pas de réforme monétaire, ce sont toutes des rumeurs répandues par des ennemis de classe." Alors il l'a abandonné pendant deux jours. Puis vint la réforme monétaire et il s'est avéré que Zapotonda
il a menti sans vergogne. Il a menti à un moment où de nouveaux billets de banque pour la réforme monétaire envisagée avaient déjà été imprimés et où les détails techniques de la confiscation des dépôts étaient affinés.

Vous dites plus jamais? Et vous souvenez-vous bien des jours un peu dramatiques où Chypre a fait faillite il y a quelques semaines? Beaucoup en ont entendu beaucoup avant le jour J. Alors il réfléchit plutôt. Et donc les réfléchis, en particulier les Russes, ont retiré leurs dépôts de Chypre dès 2012. Vendredi, avant le jour J, les principaux politiciens chypriotes ont retiré leurs dépôts de Chypre. Et pendant le week-end, il y a eu… eh bien oui, en substance, une réforme monétaire. Bien qu'elle ne s'appelle pas ainsi. Cependant, les caractéristiques essentielles de la réforme monétaire ont été satisfaites par l'évolution de la situation à Chypre: toutes les mesures ont été imposées sans avertissement, de sorte que principalement le public ne les a pas informés à l'avance et ne pouvait pas retirer ses dépôts. Les frontières étaient fermées à la circulation de l'argent. L'euro chypriote a cessé d'être convertible exactement dans les mêmes conditions que l'euro hors de Chypre. Et surtout - malgré toutes les coutumes et garanties pour les problèmes des banques et de l'État, les épargnants chypriotes l'ont payé, dont certains se sont littéralement confisqués leurs économies dans les banques. Bruxelles a fait entendre que cela ne se reproduirait plus jamais. On dit qu'un scénario similaire n'est pas prévu pour d'autres pays. Ne le crois pas. Les politiciens européens ont menti sans vergogne.

Lors d'une réunion ultérieure des ministres des finances de l'UE à Bruxelles, les ministres ont convenu que si quelqu'un est «débordé» par «s'offrir» plus de 100 XNUMX euros à la banque, il doit automatiquement cliquer sur tout problème bancaire. Ou que son dépôt soit confisqué en cas de problèmes de la banque. En fait, un tel principe devrait même devenir l'un des «piliers» de l'Union bancaire européenne.

Il vous semble que ce n'est pas une question de tout le monde, que tout le monde sait que les dépôts bancaires ne sont déjà assurés qu'à hauteur de 100 mille euros? Ne fais pas d'erreur. Dire que «en cas de problèmes d'une banque, les déposants ayant des dépôts supérieurs à 100 100 euros supporteront automatiquement les pertes», ce n'est pas la même chose que de dire que «les dépôts sont assurés jusqu'à XNUMX XNUMX euros». L'assurance-dépôts couvre une situation dans laquelle une banque ou, par exemple, une faillite fait faillite et des personnes perdraient leurs dépôts sans assurance. C'est comme ça que c'était et c'est toujours. Mais maintenant, la logique change: les gens doivent perdre des dépôts pour que la banque ne fasse pas faillite. Et c'est exactement le modèle qui a été utilisé à Chypre. Celui qui est dit "non prévu pour d'autres pays".

Et puis cette histoire ne se répète pas.

Source: sichtarova.blog.idnes.cz

 

 

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