Egypte: Usinage de hiéroglyphes

21 15. 01. 2024
6e congrès international d'exopolitique, d'histoire et de spiritualité

Si vous regardez attentivement les inscriptions hiéroglyphiques, vous remarquerez le guidage absolument précis de l’instrument. C'est quelque chose que même la main du meilleur maître ne peut pas faire. Pour cela, une machine solidement fixée est nécessaire.

Par exemple, nous avons des rainures étroites d'exactement 35 mm de large et 12,5 mm de profondeur. Un examen plus approfondi montre qu'il devait s'agir d'une sorte d'outil rotatif qui se déplaçait selon des instructions précises, qu'il s'agisse d'un programme (analogie avec une CNC) ou d'un gabarit (analogie avec un sabot).

J'ai personnellement eu l'occasion de tout voir de mes propres yeux. J'ai vérifié que :

  1. Les symboles sont gravés très précisément dans les blocs de granit, sans la moindre erreur. Je considère l'un des obélisques de Karnak, qui porte les mêmes symboles sur ses 4 faces, comme étant sans aucun doute une preuve d'usinage très efficace. Toutes les pages ont le même texte. Si vous comparez chaque côté, il n’y a pas un seul défaut.
  2. Si vous marchez à l'intérieur du mur d'enceinte du temple d'Edfou, vous n'avez pas seulement l'impression d'avoir devant vous une histoire ancienne traitée et écrite en format bande dessinée, mais surtout vous remarquerez la totale perfection des personnages, comme s'ils étaient imprimés ou découpés selon les mêmes modèles.

Selon Chris Dunn, nous opérons ici avec une précision de 1 à 2 µm, ce qui est typique du 21e siècle. Mais quand on regarde dans le musée ce que les Égyptiens auraient dû avoir à leur disposition, une telle chose semble totalement impossible. Au contraire, cela confirme l’idée selon laquelle ils devaient disposer de technologies et de procédés que notre génération ne fait que (re)découvrir.

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